Le communisme condamné au Cambodge : et en France ?

Communiqué de Bruno Gollnisch, Député européen, Conseiller régional – 26 juillet 2010

Un tribunal spécial parrainé par les Nations Unies a condamné à 35 ans de prison ferme l’ancien khmer rouge et chef de la prison communiste de Tuol Sleng, « Douch ». Il a été jugé coupable de meurtre, viol, torture, actes inhumains et crimes contre l’humanité.

Or, le nombre de victimes du communisme s’élève au Cambodge à 1,7 millions de morts et dans le monde à presque 100 millions de morts. Partout où cette idéologie a été mise en pratique depuis 1917, elle n’a produit que terreur, pauvreté, famine et décadence.

Néanmoins, le système politique français ne semble toujours pas prêt à prendre ses distances avec le communisme : le Parti communiste français n’est non seulement pas interdit mais continue à se référer aux symboles et doctrines du communisme ; le Parti socialiste et les Verts font alliance avec les communistes dans les collectivités locales et régionales. De plus, de nombreuses collectivités dirigées par la gauche collaborent toujours avec les régimes communistes en Asie. Pire encore, la loi liberticide dite « Gayssot », toujours en vigueur en France, empêche les historiens de mettre la lumière sur certains crimes du communisme, allié de l’Allemagne nationale-socialiste au début de la guerre.

A quand en France la condamnation de cette idéologie totalitaire, et la « repentance » de ceux qui en ont été les vecteurs ?

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