Le socialisme, c’est la faillite

Communiqué du groupe FN au Conseil régional Rhône-Alpes – 18 mai 2015

LogoFNRRALa gestion socialiste désastreuse d’ERAI (Entreprise Rhône-Alpes International) a précipité sa chute. Le « jeu de Monopoly », auquel s’est prêté l’exécutif, d’imposer la reprise de morceaux d’ERAI par l’ARDI (Agence Régionale du Développement et de l’Innovation) a été refusée.

La liquidation judiciaire permettra enfin de faire toute la lumière sur l’opacité de la gestion de l’association ERAI, sur les responsabilités individuelles, et sur l’irresponsabilité générale du socialisme de M. Queyranne, qui prétend toujours conseiller les entreprises, mais qui se révèle incapable de gérer lui-même l’argent des contribuables rhônalpins.

Finalement le socialisme, c’est la faillite !

Plan de sauvegarde d’activités d’entreprise Rhône-Alpes International et de reprise de personnels dans le cadre du redressement judiciaire (avec vidéos)

Intervention de Gabriel de Peyrecave et prise de parole par Charles Perrot – 18 mai 2015

Rapport n° 15.04.301

Monsieur le Président, Monsieur le Vice-président, chers collègues,

Gabriel_de_PeyrecaveNous devons nous interroger à nouveau par le biais de cette assemblée plénière extraordinaire sur le devenir d’ ERAI. En effet, une commission permanente étai t au départ prévue, mai s je n’entrerai pas dans les explications de ce changement.

Cependant, ce qui est intéressant, c’est de mettre en exergue et en parallèle le rapport rédigé pou ria Commission permanente et celui rédigé pour l’Assemblée plénière.

Dans le rapport de la Commission permanente, en page 2, nous pouvons lire : «Sous réserve d’ obtenir des moyens de fonctionnement supplémentaires, le Conseil d’administration de l’ARDI a accepté que la structure s’engage dans un projet de reprise partielle des activités d’ERAI ». Dans le dossier de l’Assemblée plénière, le terme accepté a disparu et s’est transformé en décidé. Il est intéressant de comprendre, finalement, que l’ARDI n’a pas eu le choix. La Région a poussé l’ARDI à accepter ce dossier de reprise : normal, car avec 100 % de subventions publiques, ils ont un peu le couteau sous la gorge, comme pour la proposition de la fusion. Lire la suite