L’Université Lumière Lyon 2 se trouve aujourd’hui confrontée à un incident grave et inacceptable : l’interruption d’un cours par des militants encagoulés d’un groupe d’extrême gauche. Cet acte constitue une atteinte directe à la liberté académique et à l’intégrité de l’enseignement supérieur.
Fabrice Balanche, maître de conférences en géographie et spécialiste du Moyen-Orient, a vu son cours interrompu de manière brutale par le groupe d’extrême gauche « Lyon 2 Autonome ». Ce groupe, qui promeut une idéologie intolérante et divisive, a trouvé en cette situation une occasion de réprimer la liberté académique et de diffuser une pensée conformiste et idéologique. Ce type de comportement, visant à imposer une pensée unique et à museler la diversité intellectuelle, est incompatible avec les valeurs fondamentales de l’institution. Le groupe du Rassemblement National tient à exprimer son soutien indéfectible à cet enseignant.
Nous dénonçons fermement cet acte, ainsi que l’abandon par son attitude choquante et passive, de la présidente de l’université, Isabelle Von Bueltzingsloewen, qui semble céder face à des groupes radicalisés, qui par moyen de pression, dictent la marche de l’institution.
Ainsi Madame Von Bueltzingsloewen abandonne son enseignant à son sort, elle trahi les principes fondamentaux de liberté d’expression, de liberté académique et de respect des enseignants. Ce genre de décision est une dangereuse dérive qui menace le climat de neutralité, de rigueur et de respect qui devrait prévaloir au sein d’un établissement académique.
Il est impératif de rappeler que l’université est un lieu de débat, d’échange et de confrontation d’idées, où chaque enseignant doit pouvoir dispenser son savoir sans crainte d’intimidation ou de violence. L’interruption d’un cours par des moyens coercitifs est une forme d’intimidation qui ne saurait être tolérée.
Il est essentiel que de tels actes ne restent pas impunis et que des mesures soient prises pour garantir que tous les enseignants puissent exercer leur métier dans un environnement serein et respectueux.
Le groupe Rassemblement National appelle à une prise de position claire et ferme de la part de la présidente de l’université, en soutien aux enseignants, et en faveur du respect des valeurs républicaines qui doivent guider l’enseignement supérieur.
La liberté académique ne doit pas être sacrifiée aux diktats des idéologies radicales.