Concert du rappeur Medine : la haine cofinancée par l’argent public !

Pseudo-défenseur de nos territoires ici mais vrai fossoyeur à Bruxelles !

Nous tenons à dénoncer la programmation des concerts du rappeur Médine, prévus prochainement en Auvergne Rhône-Alpes. La venue de cet artiste suscite une vive préoccupation, tant certaines de ses paroles et prises de position heurtent les valeurs de respect et appellent à la haine.
Des textes au contenu d’une violence verbale et extrême, « Keuf infanticide » ou encore « crucifier du laïcard » dépassent largement le cadre de la provocation artistique, participent à la division et contribuent à un climat social déjà tendu.
Notre opposition est d’autant plus forte que ces concerts doivent se tenir dans des salles, comme « La coopérative de mai » à Clermont-Ferrand ou « La belle électrique » à Grenoble, subventionnées par la Région Auvergne-Rhône-Alpes, donc financée en partie par l’argent public. Il est inacceptable que des fonds publics puissent servir à promouvoir la haine d’un « artiste » dont les textes ou prises de parole sont perçus comme contraires aux valeurs républicaines et au principe de respect mutuel.
La liberté d’expression est un droit fondamental certes, mais elle ne doit jamais être contraire aux valeurs de respect. Rappelons que lors de précédents concerts, le rappeur a lancé des « piñata », à l’effigie de certains élus RN et LR, dans la foule.
Nous appelons donc les responsables culturels à annuler cette programmation et le Président Pannekoucke à ne plus subventionner les salles en question, ceci dans un souci d’apaisement, de responsabilité et de cohésion sociale.

Schneider Electric : l’argent public ne doit pas financer les licenciements !

Pseudo-défenseur de nos territoires ici mais vrai fossoyeur à Bruxelles !

Alors que Schneider Electric a perçu 18 millions d’euros d’argent public au premier semestre 2025 et enregistré près de 2 milliards d’euros de bénéfices, le groupe annonce la fermeture du site CEV à Privas, laissant plus de 120 salariés sans emploi.

Cette décision est incompréhensible et inacceptable. Comment justifier que des fonds publics soutiennent un géant du CAC 40 qui ferme des usines en Ardèche ?

La Région, cheffe de file du développement économique, doit intervenir et demander la transparence sur les aides versées. Une véritable conditionnalité aux subventions doit enfin être imposée : chaque euro d’argent public doit servir à préserver l’emploi et le savoir-faire local, pas à enrichir les actionnaires.

Nous soutenons pleinement les salariés de CEV Privas et de Montélimar, victimes d’une décision injuste et déconnectée de la réalité de nos territoires.