Schneider Electric : l’argent public ne doit pas financer les licenciements !

Alors que Schneider Electric a perçu 18 millions d’euros d’argent public au premier semestre 2025 et enregistré près de 2 milliards d’euros de bénéfices, le groupe annonce la fermeture du site CEV à Privas, laissant plus de 120 salariés sans emploi.

Cette décision est incompréhensible et inacceptable. Comment justifier que des fonds publics soutiennent un géant du CAC 40 qui ferme des usines en Ardèche ?

La Région, cheffe de file du développement économique, doit intervenir et demander la transparence sur les aides versées. Une véritable conditionnalité aux subventions doit enfin être imposée: chaque euro d’argent public doit servir à préserver l’emploi et le savoir-faire local, pas à enrichir les actionnaires.

Nous soutenons pleinement les salariés de CEV Privas et de Montélimar, victimes d’une décision injuste et déconnectée de la réalité de nos territoires.

Les commentaires sont fermés.