Communiqué des élus drômois du groupe FN – 22 septembre 2016
Encore une fois nous avons été mis devant le fait accompli. A nouveau l’état, en la personne du Préfet de la Drôme, passe en force « façon 49-3 ». Cela devient une habitude avec la gauche pseudo-démocratique !
Ainsi, nous avons été avertis ce matin par les habitants d’Allex de l’arrivée en pleine nuit des clandestins de Calais, installés par la préfecture au château de Pergaud cette nuit, à 4h du matin exactement, sans doute pour éviter de croiser les riverains farouchement opposés à cette invasion subie.
On reconnait là l’habituelle couardise de l’Etat, qui craint d’affronter ses administrés et refuse d’entendre leur opposition légitime à ce projet insensé de dissémination des occupants de la « jungle calaisienne » dans nos campagnes jusque-là préservées. On retrouve aussi son totalitarisme consubstantiel en ignorant superbement la population locale qui réclame un référendum local depuis l’annonce volontairement tardive de l’arrivée des « migrants ». On note aussi sa malhonnêteté : contrairement à ce qu’il avait promis, il y a bien des familles parmi les nouveaux arrivants, mais aucune structure adaptée pour les recevoir.
Le maire, d’abord partenaire assumé du Préfet dans ce projet, a retourné une première fois sa veste à l’annonce de notre manifestation pour exiger la consultation des Allexois, promettant un référendum à ses habitants. Après avoir fait voter ce référendum en conseil municipal, il vient à nouveau de tromper son monde puisque nous apprenons dans le Dauphiné du jour qu’il a « omis » de transmettre cette délibération à la Préfecture…
Décidément dans cette affaire, la démocratie est bafouée à tous les étages !
Il est urgent que les Français retrouvent leur souveraineté afin de décider à nouveau de leur avenir. On le voit bien dans ce cas d’école, en 2017 seule Marine Le Pen leur permettra de recouvrer cette liberté fondamentale.
Les conseillers régionaux FN de la Drôme
Laure Pellier (SD FN Drôme), Richard Fritz, Olivier Amos et Thierry Sénéclauze