Par Bruno Gollnisch – 26 mars 2010
Monsieur le Président,
Je prendrai brièvement la parole pour vous adresser au nom de mes collègues élus du Front national mes félicitations, en fonction de cette courtoisie bien naturelle que l’on appelle d’ailleurs, je ne sais pourquoi, « républicaine », comme si la courtoisie avait commencé en France avec la République. Mais ceci est un autre problème.
Je vous adresse ces félicitations d’autant plus volontiers que vous êtes vous-même une illustration de cette courtoisie française et je vous rends hommage à ce titre.
Il est sans doute trop tôt pour commenter la déclaration d’intention politique que vous venez de faire, qui comprend un certain nombre d’éléments indiscutablement intéressants, et d’autres – mais ceci ne vous surprendra pas – de notre avis parfaitement critiquables. Lire la suite